Les 11 chansons…

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La vie en rose

Des yeux qui font baisser les miens. Un rire qui se perd sur sa bouche. Voilà le portrait sans retouche de l’homme auquel j’appartiens. Quand il me prend dans ses bras. Qu’il me parle tout bas. Je vois la vie en rose. Il me dit des mots d’amour, des mots de tous les jours. Et ça m’fait quelque chose. Il est entré dans mon cœur. Une part de bonheur. Dont je connais la cause. C’est lui pour moi moi pour lui. Dans la vie Il me l’a dit l‘a juré, pour la vie. Et dès que je l’aperçois alors je sens en moi mon cœur qui bat. Des nuits d’amour à plus finir un grand bonheur, qui prend sa place Des ennuis des chagrins s’effacent. Heureux, heureux, à en mourir. Quand il me prend dans ses bras qu’il me parle tout bas
je vois la vie en rose. Il me dit des mots d’amour, des mots de tous les jours et ça me fait quelque chose. Il est entré dans mon cœur une part de bonheur dont je connais la cause: c’est toi pour moi, moi pour toi. Dans la vie Il me l’a dit m’a juré pour la vie et, dès que je t’aperçois alors je sens en moi mon cœur qui bat…

J’attendrai le jour et la nuit
J’attendrai toujours ton retour. J’attendrai car l’oiseau qui s’enfuit vient chercher l’oubli dans son nid
Le temps passe et court en battant tristement dans mon coeur si lourd Et pourtant j’attendrai ton retour.
J’attendrai le jour et la nuit
J’attendrai toujours ton retour. J’attendrai car l’oiseau qui s’enfuit
vient chercher l’oubli dans son nid. Le temps passe et court en battant tristement
dans mon coeur si lourd
Et pourtant j’attendrai ton retour. Le vent m’apporte de bruits lointains. Guettant ma porte j’écoute en vain. Hélas, plus rien plus rien ne vient
J’attendrai le jour et la nuit
J’attendrai toujours ton retour. J’attendrai car l’oiseau qui s’enfuit vient chercher l’oubli dans son nid
Le temps passe et court en battant tristement dans mon coeur si lourd et pourtant j’attendrai ton retour. Et pourtant j’attendrai ton retour. Le temps passe et court en battant tristement
dans mon coeur si lourd
Et pourtant j’attendrai ton retour

Me que Me que

Le navire est à quai y a des tas de paquets Des paquets posés sur le quai dans un petit troquet (sbarra) d’un port Martiniquais. Une fille belle à croquer pleure dans les bras d’un garçon de couleur car il s’en va. Il lui brise son cœur. Elle, dans un hoquet, lui tendant son ticket lui dit: cheri, que tu vas me manquer! me que, me que, mais qu’est-ce que c’est? Une histoire de tous les jours. me que, me que, mais qu’est-ce que c’est? Peut-être la fin d’un amour La sirène brusqua leurs adieux delicats mais soudain tout se compliqua. La petite masqua un instant ses tracas Pourtant son courage manqua. Elle dit: J’ai peur, il ne faut pas partir vois-tu, mon coeur, sans toi je vais mourir! Le garçon expliqua qu’il fallait en tous cas qu’il parte et c’est pourquoi il embarqua  me que, me que, mais qu’est-ce que c’est? Une histoire de tous les jours. me que, me que, mais qu’est-ce que c’est? Peut-être la fin d’un amour. Les paquets embarqués, le bateau remorqué lentement a quitté le quai. Ne soyez pas choqués n’allez pas vous moquer de ce que je vais expliquer. Regardant au port son bel amour à terre, pris de remords, il plongea dans la mer. Devant ce coup risqué par l’amour provoqué les requins sont resté interloqués Me que, me que, mais qu’est-ce que  c’est? Une histoire de tous les jours me que, me que, mais qu’est-ce que c’est? C’est l’aurore d’un nouveau jour qui est fait pour durer toujours. Car l’amour vient pour retrouver …l’amour…. 

Parole parole parole

Cara, cosa mi succede stasera, ti guardo ed è come la prima volta. Che cosa sei, che cosa sei, che cosa sei, non vorrei parlare. Cosa sei? Ma tu sei la frase  d’amore cominciata e mai finita non cambi mai, non cambi mai, non cambi mai. Tu sei il mio ieri, il mio oggi proprio mai. È il mio sempre, inquietudine. Adesso ormai ci puoi  provare: chiamami tormento dai, già che ci sei. Tu sei come il vento che porta i violini e le rose. caramelle non ne voglio più. Certe volte non ti capisco. Le rose e violini. Questa sera raccontali a un’altra. Violini e rose li posso sentire quando la cosa mi va se mi va. Quando è il momento e dopo si vedrà. Una parola ancora: parole, parole, parole. Ascoltami parole, parole, parole. Ti prego parole, parole, parole. Io ti giuro parole, parole, parole, parole parole soltanto parole, parole tra noi

La lontananza

Mi ricordo che il nostro discorso fu interrotto da una sirena che correva lontana, chissà dove? Io ebbi paura perche sempre quando sento questo suono, penso a qualcosa di grave. e non mi rendevo conto, che per me e per te, non poteva accadere nulla di più grave, del nostro lasciarci. Allora, come ora ci guardavamo; avremmo voluto rimanere abbracciati, ed invece, con un sorriso ti ho accompagnato per la solita strada. Ti ho baciato come sempre, e ti ho detto dolcemente: la lontananza sai, è come il vento: spegne i fuochi piccoli, ma accende quelli grandi,  quelli grandi. La lontananza sai è come il vento, che fa dimenticare chi non s’ama è già passato un anno ed è un incendio che, mi brucia l’anima. Io che credevo d’  essere il più forte. Mi sono illuso di dimenticare e invece sono qui a ricordare a ricordare te. La lontananza sai è come il vento che fa dimenticare chi non s’ama. È già passato un anno ed è un incendio, che brucia l’anima. Adesso che è passato tanto tempo, darei la vita per averti accanto. Per rivederti almeno un solo istante per dirti  perdonami. Non ho capito niente del tuo bene ed ho gettato via inutilmente l’unica cosa vera della mia vita, l’amore tuo per me. Ciao amore Ciao non piangere vedrai che tornerò te lo prometto ritornerò te lo giuro amore ritornerò perché ti amo ti amo ritornerò, Ciao amore. Ciao ti amo.

Les deux dernières chansons en bas @ droite …

Ciao Andrea! Ora sei davvero un GRANDE MAESTRO!

Mon credo

Oui je crois, qu’une vie ça commence avec un mot d’amour. Oui je crois, que la mienne  commence à partir de ce jour. Oui je crois, à tous les mots d’amour que tu inventes pour moi. Oui je crois, tout ce que tu me dis parce que je crois en toi. Aussi vrai qu’avec un peu d’amour on fait tourner la terre. Aussi vrai que tes yeux sont ma seule lumière Aussi vrai que ma vie tient au fil de nos joies. Oui je crois, que mes jours n’attendaient qu’un mot d’amour de toi.
Je crois, que tout l’amour du monde est là quand tu es près de moi. J’y crois chaque fois que tu m’ouvres tes bras. Oui je crois, qu’on peut bâtir un monde avec des mots d’amour. Oui je crois, que nous ferons ce monde à nous deux chaque jour. Oui je crois, qu’il nous faudra mêler nos larmes et nos joies. Mais je crois, que j’aimerai la vie si je vis avec toi. Aussi vrai qu’avec un peu d’amour on fait tourner la terre. Aussi vrai que tes yeux sont ma seule lumière Aussi vrai que ma vie tient au fil de nos joies. Oui je crois, que mes jours n’attendaient qu’un mot d’amour de toi. Je crois, que tout l’amour du monde est là quand tu est là, Je crois à chaque vérité qui me viendra de toi. Oui je crois ! 

j'ai gardé l'accent...

Oui, j’ai gardé l’accent qu’on attrape en naissant du côté de Marseille. C’est l’ail du potager, l’huile de l’olivier, le raisin de la treille (pergola)
C’est le micocoulier  (spaccasassi, Celtis australis ) où jouent les écoliers, Qu’une cigale égaye. Quand la mer de Pagnol en retenant ses vagues S’endort en rêvassant
Et rêve d’un marin qui lui passe la bague. La mer à notre accent. Quand le vent de Mistral décoiffe les marchandes jouant au Tout Puissant et qu’il nous fait le ciel plus bleu que la lavande. Le vent à notre  accent. Oui, j’ai gardé l’accent qu’on attrape en naissant du côté de Marseille
C’est le mas )maison) paternel, aux murs couleur de miel, aux tomates vermeilles. C’est la tuile du toit, comme un peu de patois que le soir ensoleille. Quand la nuit de Daudet aux moulins met des voiles
Qui tournent en crissant
Et que ça grouille au ciel des millions d’étoiles. La mer à notre accent. Quand l’été de  Giono revient en transhumance. Et que les estivants, imitent en riant. Le parler de Provence. Le monde à notre accent. Oui, j’ai gardé l’accent qu’on attrape en naissant du côté de Marseille. C’est l’accent du clocher, la Noël des bergers dans la nuit des merveilles. C’est l’orgueil provençal, la gloire de Mistral. C’est l’accent de Mireille.

Volare

Penso che un sogno così non ritorni mai più mi dipingevo le mani e la faccia di blu
poi d’improvviso venivo dal vento rapito e incominciavo a volare nel cielo infinito. Volare oh, oh
cantare oh, oh nel blu dipinto di blu felice di stare lassù e volavo, volavo felice più in alto del sole ed ancora più su mentre il mondo pian piano spariva lontano laggiù
una musica dolce suonava soltanto per me. Volare oh, oh cantare oh, oh nel blu dipinto di blu felice di stare lassù ma tutti i sogni nell’alba svaniscon perché
quando tramonta la luna li porta con sé ma io continuo a sognare negli occhi tuoi  belli che sono blu come un  cielo trapunto di stelle Volare oh, oh, cantare oh, oh
nel blu degli occhi tuoi blu felice di stare quaggiù e continuo a volare felice più in alto del sole ed ancora più su mentre il mondo pian piano scompare negli occhi tuoi blu la tua voce è una musica dolce che suona per me Volare oh, oh cantare oh, oh nel blu degli occhi tuoi blu felice di stare quaggiù
nel blu degli occhi tuoi blu
felice di stare quaggiù con te

Cara, cosa mi succede stasera, ti guardo ed è come la prima volta Che cosa sei, che cosa sei, che cosa sei. Non vorrei parlare. Cosa sei. Ma tu sei la frase d’amore cominciata e mai finita. Non cambi mai, non cambi mai, non cambi mai Tu sei il mio ieri, il mio oggi. Proprio mai. È il mio sempre, inquietudine. Adesso ormai ci puoi provare. Chiamami tormento dai, già che ci sei. Tu sei come il vento che porta i violini e le rose. Caramelle non ne voglio più. Certe volte non ti capisco. Le rose e violini Questa sera raccontali a un’altra, Violini e rose li posso sentire. Quando la cosa mi va se mi  va, Quando è il momento e  dopo si vedrà. Una parola ncora Parole, parole, parole ascoltami parole, parole, parole. Ti prego parole, parole, parole io ti giuro parole, parole, parole, parole parole soltanto parole, parole tra noi

S.O.S.

Where are those happy days
They seem so hard to find
I try to reach for you. But you have closed your mind. Whatever happened to our love? I wish I understood. It used to be so nice It used to be so good. So when you′re near me Darling, can’t you hear me, S.O.S. The love you gave me nothing else can  save me, S.O.S. When you′re gone how can i even try to go on? When you’re gone though. I try, how can i carry on? You seemed so far away
Though you were standing near you made me feel alive
But something died, i fear i really tried to make it up. I wish i understood what appened to our love? It used to be so good. So when  you’re near me Darling,  can′t you hear me, S.O.S. The love you gave me Nothing else can save me,  S.O.S. When you′re gone How can I even try to go on? When you’re gone. Though. I try, how can i carry on? So when you′re near me Darling, can’t you hear me, S.O.S. And the love you gave me nothing else can save me, S.O.S. When you′re  gone how can i even try to go on? When you’re gone though. I try, how can i carry on? When you′re gone how can i even try to go on? When you’re gone though i try, how can I carry on?